Une étude étonnante, mais très sérieuse démontre que les repas de fêtes de fin d’années passés avec ses beaux-parents engendrent plus de stress par rapport à ceux passés avec sa propre famille.
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- Un phénomène lié au stress et à la dépression
L’alcool, la nourriture grasse, le chocolat, les courtes nuits… Beaucoup d’excès causés par les fêtes de fins d’années peuvent déséquilibrer notre organisme mais pas seulement ! Les gens aussi ! Les beaux-parents entre-autres ! Si vous cherchiez une excuse pour éviter les blagues nulles de votre beau-père et les critiques incessantes de votre belle-mère la science peut vous être d’une aide précieuse cette année. Dans la revue scientifique très sérieuse : Humane Microbiome Journal des chercheurs ont étudié les effets engendrés par la période des fêtes de Noël lorsqu’on est obligé de côtoyer plus souvent la belle-famille que d’habitude. Résultat : plus de stress et même des bactéries liées au déclenchement de
dépression.
Un phénomène lié au stress et à la dépression Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs sont partie du principe validé de base que notre équilibre intestinal regorge de bactéries qui influencent et agissent sur notre santé physique mais aussi mental. Ils ont donc étudié les excréments de deux groupes de personnes : ceux qui avaient passé Noël chez leurs beaux-parents et ceux qui avaient passé Noël dans leur propre famille. En ce qui concerne l’alimentation aucun groupe ne se démarque significativement plus que l’autre, on mange plus gras et on boit plus au repas de Noël, mais à peu près au même niveau. En revanche côté santé mentale : “Nous avons remarqué des biomarqueurs différents au sein des deux groupes, expliquent les scientifiques. Chez ceux qui ont passé Noël dans la belle-famille, nous avons noté une baisse importante de Ruminococcus, un phénomène lié au stress et aussi à la dépression.” Si les prémisses d’une preuve scientifique qu’un repas chez les beaux-parents occasionne une montée de stress importante se profilent, il faudra en revanche, plus d’expériences encore avant de tirer des conclusions définitives car d’autres facteurs doivent encore être pris en compte, selon le groupe d’étude.Click Here: New Zealand rugby store