Les nouvelles mesures énoncées par Jean Castex, ce 18 mars, n’étaient pas au goût de tous. Gabriel Attal a donc tenu à défendre le Premier ministre et à nuancer ce terme de “confinement”.
Face à la propagation constante des contaminations au coronavirus, l’exécutif a été contraint d’instaurer de nouvelles mesures restrictives. Ainsi, depuis ce vendredi 19 mars à minuit, seize départements ont été placés sous confinement. La veille, l’annonce de Jean Castex avait suscité toutes les attentions. Néanmoins, le Premier ministre a tenu à nuancer ses propos. “C’est une troisième voie que nous retenons, une voie qui doit permettre de freiner sans enfermer“, a-t-il déclaré lors de cette conférence de presse. À la suite de cette décision, les avis ont été divisés et les Français ont dû mal à s’y retrouver. Est-ce réellement un confinement ? Face à ces interrogations, Gabriel Attal s’est confié dans les colonnes du Journal du Dimanche et a tenu à défendre les mesures décriées par le Premier ministre.
Ce dimanche 21 mars, le porte-parole du gouvernement est revenu sur ce terme “confinement” qui fait grand bruit et a tenté d’éclairer la situation. “Le confinement, ça veut dire être enfermé dans un espace clos; ce n’est pas le cas“, a-t-il démarré avant de poursuivre : “Notre objectif, ce n’est pas de trouver le bon mot, mais la bonne mesure. En laissant les gens dehors et en interdisant les déplacements entre les régions pour éviter que le virus ne circule, c’est le bon sens qui prime.” Cette décision portera-t-elle ses fruits ?
Click Here: Cheap Old Skool shoes
“C’est le bon sens qui prime”
Depuis un an, les Français ainsi que le reste du monde, vivent au rythme de la pandémie de coronavirus. Avec l’arrivée des nouveaux variants, la situation demeure toujours aussi critique. Cependant, pour Gabriel Attal, il y a une différence majeure entre la période du premier confinement et celle d’aujourd’hui. “C’est la vaccination. Elle fait baisser le nombre de contaminations, de formes graves, de transferts en réanimation et de décès. On le voit chez les personnes âgées, les soignants (…).” Le porte-parole du gouvernement a conclu avec une phrase qui se veut optimiste et pleine d’espoir : “Le vaccin, c’est la liberté”.
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : Panoramic / Bestimage