Selon une étude réalisée par le site Gleeden.com, sept Français sur dix pardonneraient davantage l’infidélité d’un homme politique qu’une promesse non tenue auprès de ses électeurs.

Les Français(es) sont plus à l'aise avec l'infidélité qu'avec le mensonge politique auprès des votants.

Si Valérie Trierweiler n’a pas pu pardonner à François Hollande son infidélité (mais savoure sa revanche), les Français semblent plus indulgents avec leur président. L’Institut Ipsos a mené une étude pour le site Gleeden.com pour mieux connaitre les comportements des Européens face à l’infidélité.
A la question “Tromper sa compagne ou mentir à ses électeurs ?“, 67% des femmes interrogées pardonneraient davantage l’infidélité d’un homme politique qu’une promesse non tenue auprès de ses électeurs. La proportion monte à 70% pour les hommes, un poil plus solidaires du président Français et autres politiques infidèles.L’étude a été réalisée auprès de 4000 personnes en France, Italie, Espagne, Allemagne et Royaume-Uni.Annabelle IglesiasSource : Etude Ispos pour Gleeden.com réalisée en juin 2014.