Enfin un peu de stabilité et de logique dans une WTA qui aime couper la tête de ses têtes de séries et consacrer de nouvelles joueuses. Après un Roland-Garros sens dessus dessous pour le tennis féminin, Wimbledon a tenu son rang d’institution conservatrice. L’Australienne Ashleigh Barty, numéro un mondiale, a remporté la finale au terme d’un beau combat contre Karolina Pliskova (6-3, 6-7, 6-3), qui avait elle-même passé huit semaines en haut du classement WTA en 2017.

Barty a assommé son adversaire en début de match, remportant les douze premiers points puis menant 5-1. Pliskova, qui a sans doute vu ressurgir le spectre de sa finale à Rome au printemps (défaite 0-6, 0-6 contre Swiatek), s’est accroché ensuite pour remporter le deuxième set. Mais Barty était bien la plus forte. Elle s’adjuge là son deuxième titre du Grand Chelem après Roland-Garros en 2019 et devient la première Australienne à s’imposer sur le gazon londonien depuis Evone Goolagong en 1980.

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